mardi
Surprise !
Pour l'ouvrir, il faut des mains d'argent...
Allez, c'est encore Noël (non, Vio, promis, ça n'explose pas).
samedi
Les pensées d'Alfred
Alfred Hitchcok
Cet aprèm, Zik, t'as vraiment manqué à la Cinémathèque...
vendredi
mardi
Big Bang
C'est un cliché de Hubble aux infrarouges peu de temps après le Big Bang, c'est à dire environ 600 millions ou 900 millions d'années après. Quand on sait que l'univers a près de 13,7 milliards d'années, ça fait mijoter. On s'approche lentement de l'instant t...
Je me demandais si, avant sa retraite, Hubble serait capable de prendre aux infrableus une photo de notre rencontre, à nous, les Cerises.
Que verrait-il ?
Une rivière de fou rires ou une cascade de peurs ?
Est-ce qu'il pourrait fixer l'attente pour l'éternité ?
Les chuchotements ?
La nuit sans fond ?
Et ce O qui s'ouvre comme un hurlement...
dimanche
Dimanche poétique (7)
Une libellule rouge
arrachez-lui les ailes
un piment
réponse de Bashô :
Un piment
mettez-lui des ailes
une libellule rouge
Les dimanches poétiques sont une initiative de Celsmoon, initiative partagée maintenant par :
Edelwe, Mango, Lepetitmouton, Abeille, Emmyne, Paradoxale, Chrestomanci, Mariel, Laurence, Ankya, Herisson08, Anjelica, Schneeweiss, George, Uhbnji, Fleur, Esmeraldae, Armande, Restling, Satya, Violette, Zik, Lystig, Amos, Bookworm, Emma, Julien...
mercredi
Attente
dimanche
Dimanche poétique (6)
Les quatre sans cou
Ils étaient quatre qui n'avaient plus de tête
Quatre à qui l'on avait coupé le cou
On les appelait les quatre sans cou
Quand ils buvaient un verre
Au café de la place ou du boulevard
Les garçons n'oubliaient pas d'apporter des entonnoirs
Quand ils mangeaient, c'était sanglant
Tout en chantant et sanglotant
Quand ils aimaient, c'était du sang
[...]
la suite du poème, ici.
Robert Desnos
Les dimanches poétiques sont une initiative de Celsmoon, initiative partagée maintenant par :
Edelwe, Mango, Lepetitmouton, Abeille, Emmyne, Paradoxale, Chrestomanci, Mariel, Laurence, Ankya, Herisson08, Anjelica, Schneeweiss, George, Uhbnji, Fleur, Esmeraldae, Armande, Restling, Satya, Violette, Zik, Lystig, Amos, Bookworm, Emma, Julien...
mercredi
lundi
Ombres portées
dimanche
Dimanche poétique (5)
Aujourd'hui, je vous présente le poème d'un inconnu.
Enfin, pas inconnu pour moi, je vous ai parlé de Théo
il y a quelques jours, mon ami sourd.
Il a accepté que je publie ce texte sur mon blog, merci Théo.
Avant le grand Tout
il n’y avait rien
il n’y avait rien du tout
juste un grand trou
avec du rien
oui mais combien ?
rien infiniment rien
pas d’étoile pas de planète
pas un seul grain d'atome
rien
ni rouge ni bleu
ni ombre
rien
pas de porte pas de fenêtre pas de mur
et surtout pas de toit
non rien
pas de toi pas de moi ni d’eux
et pas même tes yeux
rien
ni envers ni endroit
rien
ni rire ni cri
ni même le silence
rien
pas de temps
pas de passé présent futur
encore moins de dimanche
rien
avant la vie
rien
pas même l'ennui
rien
un vide sans ventre
mais à quoi sert le rien ?
à avoir de l’espace ?
à se poser des questions ?
à être rempli ?
rien c’est déjà un mot
c’est déjà mieux que rien
RIEN, Théo D. - 07/2008
Sinon, si vous voulez savoir comment on dit "rien" en langage des signes, et bien c'est ici ou là.
Quatre signes différents possibles pour dire rien.
M'enfin, la philosophe, c'est toi, Vio...
Les dimanches poétiques sont une initiative de Celsmoon, initiative partagée maintenant par :
Edelwe, Mango, Lepetitmouton, Abeille, Emmyne, Paradoxale, Chrestomanci, Mariel, Laurence, Ankya, Herisson08, Anjelica, Schneeweiss, George, Uhbnji, Fleur, Esmeraldae, Armande, Restling, Satya, Violette, Zik, Lystig, Amos, Bookworm, Emma, Julien...
samedi
mercredi
Attentat polyrique dans le métro
Ils ont commencé à frémir, juste avant Babylone.
Et puis, tout à coup, leurs voix ont explosé.
J'ai regretté que tu ne sois pas là, Satya !
Oui, un attentat dans le métro parisien.
Le gars à lunettes, assis à gauche, par contre, impossible à dérider...
mardi
Pour écouter un peu ses yeux
Hier, j'ai croisé Théo, vous savez, le fils du voisin de ma tante. Elena l'avait invité à manger chez elle avec son père. Théo est sourd mais il sait lire sur les lèvres. Il va au lycée à l'INJS, dans le 5ème arrondissement. Je l'observais en train de signer en LSF (Langue des Signes Française), c'est une vraie chorégraphie. Quand sa diction n'était pas compréhensible, on s'est débrouillés avec un bloc notes. Mais je ne rêvais que d'une chose : pouvoir lui répondre en LSF. Je ne comprends pas pourquoi on ne nous l'enseigne pas à l'école, au moins les bases. J'aimerais qu'il m'apprenne à signer...
dimanche
Dimanche poétique itou (4)
Parce que ça me rappelle une drôle de chevauchée
parce qu'il avait une tête de tsigane
parce que c'était un sacré inventeur aussi
parce que j'aime les road movies
parce que c'était Charles Cros
Tsigane
Dans la course effarée et sans but de ma vie
Dédaigneux des chemins déjà frayés, trop longs,
J'ai franchi d'âpres monts, d'insidieux vallons.
Ma trace avant longtemps n'y sera pas suivie.
Sur le haut des sommets que nul prudent n'envie,
Les fins clochers, les lacs, frais miroirs, les champs blonds
Me parlent des pays trop tôt quittés. Allons,
Vite ! vite ! en avant. L'inconnu m'y convie.
Devant moi, le brouillard recouvre les bois noirs.
La musique entendue en de limpides soirs
Résonne dans ma tête au rythme de l'allure.
Le matin, je m'éveille aux grelots du départ,
En route ! Un vent nouveau baigne ma chevelure,
Et je vais, fier de n'être attendu nulle part.
Les dimanches poétiques sont une initiative de Celsmoon, initiative partagée maintenant par :
Edelwe, Mango, Lepetitmouton, Abeille, Emmyne, Paradoxale, Chrestomanci, Mariel, Laurence, Ankya, Herisson08, Anjelica, Schneeweiss, George, Uhbnji, Fleur, Esmeraldae, Armande, Restling, Satya, Violette, Zik, Lystig, Amos, Bookworm, Emma, Julien...
vendredi
O...bsession
mercredi
vivre en 140 caractères maximum
ma vie passionnante intéresse le monde entier en moins de 140 caractères ma vie passionnante intéresse le monde entier en moins de 140 caractères ma vie passionnante intéresse le monde entier en moins de 140 caractères ma vie passionnante intéresse le monde entier en moins de 140 caractères ma vie passionnante intéresse le monde entier en moins de 140 caractères ma vie passionnante intéresse le monde entier en moins de 140 caractères ma vie passionnante intéresse le monde entier en moins de 140 caractères ma vie passionnante intéresse le monde entier en moins de 140 caractères
dimanche
Dimanche encore : poète mystère
Dimanche poétique itou (3)
Mais c'est l'un de mes préférés.
"Il a dévalé la colline
Ses pieds faisaient rouler des pierres
Là-haut entre les quatre murs
La sirène chantait sans joie
Il respirait l'odeur des arbres
Il respirait de tout son corps
La lumière l'accompagnait
Et lui faisait danser son ombre
Pourvu qu'ils me laissent le temps
Il sautait à travers les herbes
Il a cueilli deux feuilles jaunes
Gorgées de sève et de soleil
Les canons d'acier bleu crachaient
De courtes flammes de feu sec
Pourvu qu'ils me laissent le temps
Il est arrivé près de l'eau
Il y a plongé son visage
Il riait de joie il a bu
Pourvu qu'ils me laissent le temps
Il s'est relevé pour sauter
Pourvu qu'ils me laissent le temps
Une abeille de cuivre chaud
L'a foudroyé sur l'autre rive
Le sang et l'eau se sont mêlés
Il avait eu le temps de voir
Le temps de boire à ce ruisseau
Le temps de porter à sa bouche
Deux feuilles gorgées de soleil
Le temps de rire aux assassins
Le temps d'atteindre l'autre rive
Le temps de courir vers la femme
Il avait eu le temps de vivre."
Boris Vian, Le temps de vivre, 1954
Un soir de juin 59, il est allé assister la première de l'adaptation cinématographique de son roman J'irai cracher sur vos tombes.
Cette adaptation, il la reniait, il s'était battu contre, il ne voulait pas
de son nom au générique. D'ailleurs, il est mort avant le générique.
Mais heureusement pour nous, il avait eu le temps de vivre.
Les dimanches poétiques sont une initiative de Celsmoon, initiative partagée maintenant par :
Edelwe, Mango, Lepetitmouton, Abeille, Emmyne, Paradoxale, Chrestomanci, Mariel, Laurence, Ankya, Herisson08, Anjelica, Schneeweiss, George, Uhbnji, Fleur, Esmeraldae, Armande, Restling, Satya, Violette, Zik, Lystig, Amos, Bookworm, Emma, Julien...
mardi
La rubrikabrak de Chani (1)
Faire des cartons de déménagement, c'est mettre le nez dans la boîte de Pandore, avant de lui coller un gros haut/bas fragile dessus.
Chani a mis la main sur une vieille coupure de 1938 du Petit Journal. On y voit notre arrière-grand-oncle Igor, le frère de mon arrière-grand-mère (du côté d'Elle). Il venait de battre un record d'altitude à plus de 17.000 mètres.
Si les fantômes pouvaient parler...
Mais Chani a une faible pour cette autre photo :
Une sacrée nana, cette Amelia Earhart. Elle a été la première femme aviatrice à traverser l'Atlantique en 1928, avant d'accomplir de nombreux autres exploits en solitaire.
Inutile de vous expliquer pourquoi elle fascine ma sister....
Le croque d'Odile a les yeux verts
Après tout, on a tous quelque chose en nous de Tennessee...
Tu l'as revue dimanche chez Odile ?
Elle a un petit air de Zik, non ?
lundi
Dark, j'adore
Une vidéo sharée par la cop' d'une cop' de Chani.
Merci, Luz, trop fun.
Qui aurait cru que les gothiques aimait les Légo ?
Ben quoi, on peut aimer les Légaux et Micho, hein.
Visez bien le troisième trompettiste à partir de la gauche,
c'est Vian, planqué sous son costume.
En train de mijoter les paroles du Blouse du dentiste.
dimanche
Dimanche poétique itou (2)
(Et merci à toi, Celsmoon.)
"Sur une grande route, il n'est pas rare de voir une vague, une vague toute seule, une vague à part de l'océan.
Elle n'a aucune utilité, ne constitue pas un jeu.
C'est un cas de spontanéité magique."
Henri Michaux, Ailleurs, Au pays de la Magie.
PS : On s'y fait bien, à ces dimanches, Sat' ! Et Zik, j'aime toujours autant tes patins ;-)
Les dimanches poétiques sont une initiative de Celsmoon, initiative partagée maintenant par :
Edelwe, Mango, Lepetitmouton, Abeille, Emmyne, Paradoxale, Chrestomanci, Mariel, Laurence, Ankya, Herisson08, Anjelica, Schneeweiss, George, Uhbnji, Fleur, Armande, Restling, Satya, Violette, Zik, Lystig, Amos
Dimanche poétique itou
Ben moi, je suis qu'un pouêt du dimanche,
mais il y en a un vrai de vrai que j'aime
et qui l'était tous les jours,
alors voilà :
Je veux une vie en forme d'arête
Je veux une vie en forme d'arête
Sur une assiette bleue
Je veux une vie en forme de chose
Au fond d'un machin tout seul
Je veux une vie en forme de sable dans des mains
En forme de pain vert ou de cruche
En forme de savate molle
En forme de faridondaine
De ramoneur ou de lilas
De terre pleine de cailloux
De coiffeur sauvage ou d'édredon fou
Je veux une vie en forme de toi
Et je l'ai, mais ça ne me suffit pas encore
Je ne suis jamais content
jeudi
Tomber, oui. Mais doucement.
Quand Michael Schulte chante Glen Hansard. Le grand kif.
Oui, Glen Hansard (arrête de râler, Vio, et je te rappelle que t'as toujours mon CD en otage)
J'ai découvert les vidéos de Michael il n'y a pas longtemps.
Ce gars a composé plusieurs chansons, à la mort de son père
(un extrait là),
alors forcément, le manque en musique, ça me parle.
En plus, il est assez canon, ce qui ne gâche rien...
samedi
vendredi
lundi
Le ventre de Paris gargouille
Oui, Paris nous appartient.
dimanche
Quelques révisions avant l'exam... l'écran blanc
Cliquez sur l'image pour voir quelques 50 super bande-annonces
Citizen Kane, Psychose, The shining, Alien...
ça vous dit, les Cerises ?
Comme si on était à la Cinémathèque !
samedi
A celui qui a visé dans le mille
piétiné mes élans et effacé les bruits.
Derrières tes masques de mots,
je m'arrachais les ongles en aiguisant mes lèvres.
Tu as maquillé l'attente, éparpillé ma voix,
grimé tes habitudes, étouffés mes regards agrippés à l'espace
et je n'ai rien compris [...]
Car tu es diagonale, je me cogne à tes angles,
car tu es cri muet, point d'interrogation,
équation impossible, hors sujet, digression.
Tu es fragment, mosaïque d'absence
éclat de rire en trompe l'oeil
parole en filigrane, unité éclatée
et nombre imaginaire
car tu es bifurcation, croisée des chemins sans indication
paupière mi-close, rumeur
simulation
j'ai cru à la transparence et traqué les silhouettes
mais ton ombre avait les mains gantées
elle inversait mes sourires
peignait mes syllabes en rouge [...]
notre histoire s'est fendue comme terre cuite."
Tadeo Igamas, extrait de Duel à l'envie
Pour L.V
lundi
Soldes et faim de Cerises
On se fera un menu croque-monsieur. Mon menu préféré...
C'est bon, les pique-nique en hiver.
Pis, cerise sur le gâteau,
on peut enchaîner avec Scarface à la Cinémathèque.
Z'en pensez coâ ?
vendredi
Vive la techno (logie)
jeudi
mardi
Dilemme
mercredi
Qui tient les manettes ?
NCsoft, le logo NC, City of Heroes
jeudi
La lumière Blake
Ouaip, Zik, scotché par William Blake, j'ai été aussi.
...Et puis je crois qu'on avait des goûts en commun :
"Bring me my Bow of burning gold
Bring me my Arrows of desire ;
Bring me my Spear: O clouds unfold !
Bring me my Chariot of fire."
"Apportez-moi mon arc d'or brûlant
Apportez-moi mes Flèches de désir;
Apportez-moi ma Lance: O nuées ouvrez-vous!
Apportez-moi mon Chariot de feu!"
extrait du livre “Drawings of William Blake - 92 pencil studies”
de Sir Geoffrey Keynes, éd. Dover.
Vous y croyez, vous, qu'il est né en 1757 ?
C'est le père de la BD moderne, ce gars !
mardi
Fourmigraine
© Saxton Freymann, Joost Elffers, Mila Boutan Eds
Nan, ce coup-ci, ce n'est pas une migraine de lendemain de Kro. Mais j'ai beau tourner le problème dans tous les sens, essayer de fourmiller d'idées, je sèche grave. J'aimerais être comme ces fourmis qui peuvent porter 60 fois leur poids. Moi, je croule sous le mien. Sans les Cerises, je ne serai qu'un pauvre noyau creux. Un fourminable.
dimanche
Challoween
Qui a fait mumuse avec le chat de la voisine ?!
Sinon, pour les chiens qui foutent grave la citrouille, c'est par là...
vendredi
Pour Vio, une plongée dans l'univerre
En ce moment, j'ai juste envie de rester dans ma capsule.
Ma terre à moi n'est pas bleue comme une orange (ni comme une cerise), ses océans sont moins infranchissables et elle tient dans une... bière.
Meuh non, sans fleur ni couronne, pfff, juste un petit univerre, hein.
Parce que bière qui roule amasse la mousse. Lol.
Elle me manque.
Alors quand je la cherche, je vais faire un tour ici.
Je me demande sur quel continent et derrière quel visage elle se cache...
lundi
Je ne naîtrai pas
"Je ne naîtrai pas."
Non, c'est pas moi qui le dit, c'est Tadeo Igamas.
Bah je ne sais pas pourquoi, c'est à cause de Koltès, Vio, que je pense à ce poète espagnol contemporain, presque inconnu. Solitaire, désespéré comme Quai Ouest, mais hurlant la vie.
C'est ma tante Elena qui me l'a fait découvrir.
"Je ne naîtrai pas.
C'est décidé, je ne pousserai pas la porte.
Je resterai là, recroquevillé,
rivé à l’outre, à l’outre-présent,
lové comme un chien dans le grand intérieur.
Alors, n’insistez pas, je ne naîtrai pas.
[...]
Je vous laisse le Dehors,
je vous laisse le vent hurlant,
je vous laisse le futur et la mort lente des fous.
C’est dit : je ne naîtrai pas.
Je ne veux connaître ni l’air du temps,
ni la poussière rouge des chemins.
Je ne veux pas fouler l’asphalte des routes
ni frotter mes doigts gourds sous le froid des ponts.
Je ne naîtrai pas. [...]
Je ne veux pas lever les yeux vers la Grande Ourse
je ne veux pas suivre le pas des enfants-soldats,
je ne veux pas rire avec les hyènes,
je ne veux pas attendre, sourdre, jaillir, exulter,
je ne veux pas pleurer l’absent,
je ne veux pas regarder couler le flot obscène des fontaines aux dollars,
je ne veux pas cueillir la dernière feuille du dernier arbre de la dernière forêt,
je ne veux pas caresser de ventre,
je ne veux pas danser dans les néons.
[...]
Je n’écrirai pas mon nom sur le sable,
je veux rester sans nom.
je ne naîtrai pas.
Rester l'inassouvi."
Tadeo Igamas, "Mésattentes", 1971.
jeudi
Yes, je remember très bien, Satya...
mercredi
Le vrai non du Soldat inconnu
Et le vieux bonhomme, à droite, c'est Ebenezer Raidart, le surveillant du cimetière.
J'étais pas un fan transi de Larcenet et Casanave, mais Damien m'a filé cet album et sérieux, c'est un p'tit bijou, je vais suggérer à Solange et Madeleine de le mettre en "coup de coeur" à la Malle de l'Ange.
Un bon coup de clairon (enfin, de crayon) contre ces saloperies de guerres.
Z'avez déjà écouté du punk rock avec un gramophone ?